Mes essais de bouquins !! ^^

Arnar, chapitre 1

Les lames se rencontrèrent. Repartirent. Puis volèrent à nouveau l'une vers l'autre.
Les deux elfes étaient là, battant la terre sèche du sol de leurs pieds et faisant voler la poussière ocre autour d'eux, avant qu'un souffle de vent tiède ne la chasse.
Les styles de combat des deux duellistes étaient entièrement différents: alors que l'un ne bougeait pas d'un pouce, se contentant d'intecepter l'arme de son adversaire; l'autre, plus jeune, volait d'un côté à l'autre, plus âgé, fouettant l'air avec fureur dans une terrible danse de mort, mais sans la moindre efficacité face aux parades précises de son aîné.
Ils continuèrent ainsi pendant quelques temps, jusqu'à ce que le soleil s'approche de l'horizon. Alors que les ombres s'allongeaient, le plus vieux des deux combattants se mit en mouvement. Sa lame volait, meurtrière. Mais encore suffisament lentement pour que le jeune puisse parer ou esquiver. Mais, très vite, son arme vola, avant de retomber en tintant sur le sol.
Aussitôt, la pointe de l'épée se plaça sur le cou du jeune :
-Tu as perdu, Arnar.
-Je sais, père.
-Néanmoins, tu t'améliores. Même si tu es loin d'avoir mon niveau, tu n'es pas mauvais. Et puis, ajouta-t-il dans un sourire, tu ne manques pas de style...
Le jeune elfe lui rendit son sourire et le suivit à travers la place du village qui commençait à être désertée par les habitants.
Encore essouflé, le visage d'Arnar était rouge, mais gardait son teint llégèrement halé. Des mèches de ses cheveux châtains clairs lui collient à la peau à cause de la sueur, encadrant des yeux couleur émeraude. Ses traits, fins et réguliers, lui donnaient ce que certains décrivaient comme une beauté sauvage; la force et la noblesse d'un lion.
Son père, Ornyl, semblaitlui avoir donné ses propres traits : son fils était sa réplique exacte, quoi que le vieil elfe aie des traits plus tirés, plus usés. Celà était soulignés par de fines cicatrices ainsi que par de fines rides à peine perceptibles. Néanmoins, il rayonnait le calme et la sérénité.
Marchant entre les maisons de pierre blanche, ils arrivèrent bientôt à une habitation qui se démarquait des autres : sur son côté gauche s'ouvrait un espace dans lequel avait été construit une forge. Ornyl se dirigea vers celle-ci, tandis que son fils franchissait la porte.
Celui-ci se dirigea ensuite vers un escalier en ébène et monta à l'étage afin d'entrer dans sa chambre. Là, il enleva ses vêtements trempés de sueur avant de s vêtir de lin propre, puis il ouvrit les volets et s'accouda au rebord d'un petit balcon où il se reposa.
La fureur du combat qui lui parcourait encore les veines partait peu à peu, alors qu'un vent frais lui parcourait le visage, ponctué par le martélement régulier qui montait de la forge.
Ainsi était la vie d'Arnar depuis qu'une violente épidémie avait emporté sa mère quelques années auparavant. Depuis, il ne pouvait oublier ces sombres pensées que dans les entraînement que son père lui avait donné dès qu'il put porter une épée. Là, il n'avait que la possibilité de se concentrer sur l'instant présent. La nostalgie pouvait attendre.

Ps : ya pas moyen de mettre un alinéa, mince ??!

Pas d'alinéa ?
Okay, test...

EDIT : test non concluant. Pas d'alinéa sur le forum, donc !

Et sinan j'aime bien, même si c'est très court ! Au moins, c'est bien écrit. Y'a encore quelques fautes, je te laisse t'en occuper...

Personnellement, je trouve la phrase de la deuxième ligne pas très habile ("sol" et "terre" qui se parasitent, peut-être). M'enfin, c'est pas mal tout ça. Postes la suite, qu'on voit ce que ça donne !

madahine, un littéraire de plus sur le forum... n'hésitez pas à poster vos oeuvres !

heu, c'est pas la fin du chapitre, juste la première page (manuscrite ^^) que j'ai eu le temps de copier sur une heure de cdi... ^^
la deuxième arrive bientôt...
Pour plus d'infos, cf http://www.lestroisraces.forumactif.org, où j'avais essayé de monter un truc qu'a pas marché... (vous me retrouverez rapidement...)

Pas mal!!
Je te propose pour remplacer la dexieme ligne:
Les deux elfes étaient là, foulant de leur pieds la terre sèche du sol et faisant voler la poussière ocre autour d'eux, avant qu'un souffle de vent tiède ne la chasse.
C'est juste une proposition je suis pas ecrivaint

mede!!! j'ai oublié de remplacer la terre sèche du sol par la terre arride ze recommence ..mdrrrr
Les deux elfes étaient là, foulant de leur pieds la terre arride et faisant voler la poussière ocre autour d'eux, avant qu'un souffle de vent tiède ne la chasse.

un seul"r" à aride ^^
merci du conseil !
Bah, ça sera pas la première fois que je changerais letexte... juste le troisième ou quatrième essais...

Bon je l'ai pas lu au complet parce que ça a éveillé en moi une certaine amertume, mais selon-moi, c'est du bon travail! Il faut vraiment que j'écrive quelque chose...^^

Merci pour ces encouragements !
Bno ,voilà la suite du premier chapitre, en direct de mon cdi (merci le prof pour son absence ^^)

Le lendemain, Arnar sortit chasser. Il s'enfonça dans la forêt qui bordait Adïr, son village, l'arc à la main.

(Edit) : Bientôt, il trouva un troupeau de daims dans une clairière. Une flèche bien ajustée se planta rapidement dans le cou de l'un d'entre eux.

Bon, j'ai supprimé une bonne partie du texte... entre nous, je trouvais ça inutile, donc, coupez !
Suite dans un autre post...

c'est yakari le ptit indien???????

C'est ça, un petit indien qui va massacrer des centaines de milliers de mecs tout seul, et va devenir une légende quasi-invincible... Nan, c'est juste que comme dans Eragon (non, je ne copie pas), il vit peinard à la campagne, et il lui arrive de devoir aller chercher de la bouffe -_-'

Ahhhhhh d'accord!!!!!

J'aime bien. Si tu le permet je vais prendre le temps de lire tout ça et de corriger et les fautes, et les tournures, et le style (du moins, t'aiguiller vers quelque chose de plus ahérer) parce que c'est très lourd par moment

Sinon bah, j'attendrai la suite.

Semper, je crois que je vais te tuer... J'ai passé des heures à écrire la suite, et à cause de ton foutu message, il a du me mettre une page genre "quelqu'un a posté avant vous, gnin gnin gnin"...

ET RESULTAT, COMME J'AVAIS CHANGE DE PAGE, TOUT EST FOUTU !

MERCI !

ps : le québec fait partie du canada... serait tu donc ton propre ennemi juré ?

LOL je suis vraiment désolé :s

Petit conseil, écrits sur word et non directement sur le forum ^^'

D'u autre côté, crois en mon expérience, réécrire un texte de mémoire donne souvent de meilleurs résultats que l'original.

Sinon, bah je suis souverainiste (enfin, j'étais) maintenant je m'en fous... un peu.

espèce de tabarnak... (j'ai vu ça sur un chat francophone cette nuit^^)
bon, j'écris la suite...

Le jeune elfe chargea sa proie sur ses épaules et s'éloignat, retournant chez lui. Alors qu'il atteignait la lisière de la forêt ,il aperçut un nuage de poussière sur la plaine rougeâtre. Regardant avec attention, il vit qu'il était créé par un cheval lancé au galop se dirigeant vers le village.

Intrigué, il s'empressa de descendre la petite colline sur laquelle il se trouvait. Un quart d'heure plus tard, il était arrivé. Sur la place, le cavalier menait sa monture au pas. Arnar l'observa : ses yeux sombres scrutaient les alentours avec attention, sans que rien ne lui échappe. Ses longs cheveux argentés étaient attachés dans son dos en une natte de guerrier, bien que quelques mèches étaient laissées libres sur son visage fier et couturé de fines cicatrices. Une longue épée était suspendue à son épaule par un lien de cuir sombre.

L'étranger était vêtu d'une longue toge blanche brodée de fils rouges et or, mais, lorsqu'il mit pied à terre, Arnar aperçut les reflets métalliques d'une armure.D'un pas ferme, il entra dans la taverne.

Curieux de savoir ce qu'il venait faire là, Arnar le suivit, sa proie sous le bras. Il se dirigea vers le comptoir où l'inconnu attendait, calme, malgré les regards oppressants des personnes présentes.

Rideb, le patron, salua le jeune elfe d'un signe de la mainavant de s'adresser à son client :
-Monsieur, qu'est-ce que je vous sert ?
-Juste un renseignement... Connaitriez vous un certain Ornyl Aenor ? On m'a dit que je le trouverai dans cette ville...
-Ornyl ? C'est notre forgeron ! Mais, que lui voulez-vous ? ajouta-t-il en jetant un regard suspicieux sur la poignée de l'arme qui dépassait des épaules de l'étranger.
-Juste parler avec un vieux camarade... répondit-il dans un sourire avant de demander : Où puis-je le trouver ?
-Demandez à Arnar, son fils. Il est juste là... Eh, Arnar! Approche! Ce monsieur veut voir ton père...
-Très bien, répondit l'intéressé, suivez-moi. Je rentrais justement...

Alors qu'ils allaient passer la porte, Rideb appella :
-Ah, monsieur, vous vous nommez...
-Dabr. Dabr Lame du Désert.

Les lames se rencontrèrent. Repartirent. Puis volèrent à nouveau l'une vers l'autre. (Le fait de découper cette séquence en plusieurs phrases brise le rythme. Elle devrait être en une seule phrase.)

Les deux elfes étaient là, battant la terre sèche du sol de leurs pieds et faisant voler la poussière ocre autour d'eux, avant qu'un souffle de vent tiède ne la chasse. (Tous ces détails alourdissent le séquence de combat et n'y apporte rien. Si tu étais dans un moment plus tranquille, tu pourrais te le permettre. Mais un combat doit-être rapide et dynamique, oublie les longues description.)


Les styles de combat des deux duellistes étaient entièrement différents:
(Je ne sais pas si cette phrase est bien nécessaire puisque, e toute façon, lorsque tu décris plus bas les deux style, on s'en rend compte. Cela revient à dire deux fois la même chose.)

Alors que l'un ne bougeait pas d'un pouce, se contentant d'intercepter l'arme de son adversaire; l'autre, plus jeune, volait d'un côté à l'autre, plus âgé, fouettant l'air avec fureur dans une terrible danse de mort, mais sans la moindre efficacité face aux parades précises de son aîné. (Bien cette séquence peut-être un peu lourde par contre. Beaucoup de texte pour dire, au fond, pas grand chose.)
(Tu pourrais dire: L'ainé de deux combattant ne bougeait pas d'un pouce, se contentant d'encaisser froidement la danse mortelle de son adversaire.
(Ça résume ce que tu as dit, c'est plus dynamique, plus court.)


Ils continuèrent ainsi pendant quelques temps, jusqu'à ce que le soleil s'approche de l'horizon. Alors que les ombres s'allongeaient, le plus vieux des deux combattants se mit en mouvement. Sa lame volait, (vola) meurtrière. (virgule) Mais encore suffisamment lentement pour que le jeune (cadet?) puisse parer ou esquiver. (simplement dire parer) Mais, très vite, son arme vola, (répétition) avant de retomber en tintant sur le sol.


Aussitôt, la pointe de l'épée se plaça sur le cou du jeune :
(La lame de son adversaire décrivit un arc pour se poser tout contre sa gorge)

-Tu as perdu, Arnar.
-Je sais, père.
-Néanmoins, tu t'améliores. Même si tu es loin d'avoir mon niveau, tu n'es pas mauvais. Et puis, ajouta-t-il dans un sourire, tu ne manques pas de style... (Oké. grande leçon sur les dialogues. Les points de suspention (...) TUENT! Ça brise, coupe, ralenti, slow down, fait vomir, dans un dialogue ^^) Parce que non seulement on a l'impression que le personnage ne sait pas quoi dire, mais on a surtout l'impression que l'auteur lui-même ne sait pas quoi dire. Donc éviter le plus possible les ... Bon là ça vas lol, mais faut pas en mettre tout le temps )


Le jeune elfe lui rendit son sourire et le suivit à travers la place du village (ils sont dans un village? Ce serait bien de préciser parce que là, le lecteur doit cesser la lecture, réfléchir, et continuer, ce qu'il (le lecteur), ne veut pas faire))
''
qui commençait à être désertée par les habitants. (mets juste ''désert'')


Encore essouflé, le visage d'Arnar était rouge, mais gardait son teint légèrement halé. Des mèches de ses cheveux châtains clairs lui COLLAIENT à la peau à cause de la sueur, encadrant des yeux couleur émeraude. Ses traits, fins et réguliers, lui donnaient ce que certains décrivaient comme une beauté sauvage; la force et la noblesse d'un lion. (Pas mal du tout )


Son père, Ornyl, semblait lui avoir donné ses propres traits :
(Son père, Ornyl, semblait, tel un artiste, l'avoir façonné à son image à partir d'albâtre et de nacre.) ou quelque chose de ce genre.


son fils était sa réplique exacte, quoi que le vieil elfe aie des traits plus tirés, plus usés. Celà était soulignés par de fines cicatrices ainsi que par de fines rides à peine perceptibles. Néanmoins, il rayonnait le calme et la sérénité. (C'est une évidence, donc une répétition )


Marchant entre les maisons de pierre blanche, ils arrivèrent bientôt à une habitation qui se démarquait des autres : sur son côté gauche s'ouvrait un espace dans lequel avait été construit une forge. Ornyl se dirigea vers celle-ci, tandis que son fils franchissait la porte.

Celui-ci se dirigea ensuite vers un escalier en ébène et monta à l'étage afin d'entrer dans sa chambre. Là, il enleva ses vêtements trempés de sueur avant de vêtir
(passer)

de lin propre, puis il ouvrit les volets et s'accouda au rebord d'un petit balcon où il se reposa.


La fureur du combat qui lui parcourait encore les veines partait peu à peu, alors qu'un vent frais lui parcourait le visage, ponctué par le martélement régulier qui montait de la forge.
(L'excitation du combat qui avait courut dans ses veines disparaissait à peu à peu alors que s'élevait le martèlement régulier du fer contre l'acier, plus bas dans la forge.)

Ainsi était la vie d'Arnar depuis qu'une violente épidémie avait emporté sa mère quelques années auparavant. Depuis(répétition), il ne pouvait oublier ces sombres pensées que, dans les entraînementS, son père lui avait donné dès qu'il put porter une épée. Là, il n'avait que la possibilité de se concentrer sur l'instant présent. La nostalgie pouvait attendre.

Merci pour tout ces conseils... Mais soit pas trop dur ^^ : j'ai que 15 ans et c'est un brouillon ^^
sinon, j'ai supprimé toute la partie chasse de la partie suivante.. Faisant vraiment lourd... Et, en parlant des points de suspension, je les utilise justement pour alléger le texte, faire une pause...

Euh, semper, tu corriges pas la suite ?
J'espere que tu apprecieras la fin qui est (je trouve ^^) stylee...

scuse je suis plutôt déprimé la :S mais je vais m'y mettre bientôt ^^'...

deprime d'avoir lu ? XD
bah, t'as le temps...

lol déprimé que ma copine m'ait sacré là xD

je compatis....
tiens tu l'as peut etre pas remarque, mais le truc ou je dis que mon gars a "une beaute sauvage", c'est du purement pique a Eragon, ca !
Si tu regardes dans le T2, au moment ou Roran rapplique sur le champ de bataille, il voit Eragon et c'est comme ca qu'il le decrit...

kk ^^ perso je tiens Amos Daragon en très (genre intensément) basse estime mais bon. Faut commencer quelque part et prendre exemple sur d'autres livres est un excellent moyen de commencer comme en dessin. Rien de mieux que copier, calquer, imiter, pour apprendre et dévellopper son propre style.

Amos Daragon ?
Non, je parle d'Eragon, moi...

AH XD presque pareil un peu plus recherché je l'admet ^^... mais bon, je classe ça dans la même catégorie que Harry Potter, Twiligth etccc... de par leur style incertain et parfois emprunté. On peux pardonner à Eragon puisque c'est un roman de jeunesse (tout comme mes premiers romans sont de la merde profonde et puisque mon père n'est pas éditeur - contrairement au père de Paolini - ils n'ont heureusement pas étés publiés)... mais J.K rowling, machin qui à écrit Twiligth, et Brin Perro... ne peuvent pas vraiment êtres pardonnés.