Le jeune elfe chargea sa proie sur ses épaules et s'éloigna
, retournant chez lui. Alors qu'il atteignait la lisière de la forêt ,il aperçu un nuage de poussière sur la plaine rougeâtre. Regardant avec attention, il vit qu'il était créé par un cheval lancé au galop se dirigeant vers le village. (cette dernière phrase pourrait être plus concise ce qui ajouterait au rythme et à la clarté)
Intrigué, il s'empressa de descendre la petite colline sur laquelle il se trouvait. Un quart d'heure plus tard, il était arrivé. (bien cette phrase. Courte, pas de détails inutiles et lourds
) Sur la place, le (un, puisqu'on le voit pour la première fois) cavalier menait sa monture au pas. Arnar l'observa : ses yeux sombres scrutaient les alentours avec attention, sans que rien ne lui échappe. Ses longs cheveux argentés étaient attachés dans son dos en une natte
de guerrier soupple,
bien que quelques mèches étaient laissées libres sur son visage fier et couturé de fines cicatrices. Une longue épée était suspendue à son épaule par un lien de cuir
sombre.L'étranger était vêtu d'une longue toge blanche brodée de fils rouges et or, mais, lorsqu'il mit pied à terre, Arnar aperçut les reflets métalliques d'une armure.D'un pas ferme, il entra dans la taverne. (Faire deux description de la même personne l'une à la suite de l'autre... c'est étrange)
Curieux de savoir ce qu'il venait faire là (pourquoi est-il curieux? N'est-ce pas normal que quelqu'un entre dans une taverne?), Arnar le suivit, sa proie sous le bras. (Il la charge d'abord sur ses épaules... il est assez fort pour avoir ce qu'il a chassé sous le bras???) Il se dirigea vers le comptoir où l'inconnu attendait, calme, malgré les regards oppressants des personnes présentes. (regards oppressants... ça se dit assez mal. Un conseil. Lorsque tu as finit d'écrire, relit à voix haute ton texte, tu verras les erreurs de musicalité.)
Rideb, le patron, salua le jeune elfe d'un signe de la main avant de s'adresser à son client :
-Monsieur, qu'est-ce que je vous sert ?
-Juste un renseignement... Connaitriez vous un certain Ornyl Aenor ? On m'a dit que je le trouverai(s) dans cette ville...
-Ornyl ? C'est notre forgeron ! Mais, que lui voulez-vous ? ajouta-t-il en jetant un regard suspicieux sur la poignée de l'arme qui dépassait des épaules de l'étranger. (me semble que justement, c'est logique qu'un gars avec une épée cherche un forgeron ^^')
-Juste parler avec un vieux camarade... répondit-il dans un sourire avant de demander : Où puis-je le trouver ?
-Demandez à Arnar, son fils. Il est juste là... Eh, Arnar! Approche! Ce monsieur veut voir ton père...
-Très bien, répondit l'intéressé, suivez-moi. Je rentrais justement...
Alors qu'ils allaient passer la porte, Rideb appella :
-Ah, monsieur, vous vous nommez(?...)